Je m’appelle Jérémy, je viens d’avoir 24 ans.
Il y a maintenant près de 4 mois, j’ai fait le choix de partir en Israel pour y faire mon stage de fin d’étude. Ayant suivi un master en « International Business », quel autre choix était meilleur que celui-ci ? Israel est un pays qui a besoin en permanence de développer ses échanges commerciaux à l’international, tout en étant une terre d’accueil, créée par des immigrants issus des 4 coins du monde.
Tout naturellement, j’ai ainsi commencé à chercher un stage. Une bonne cinquantaine d’emails plus tard, le manque d’opportunité a commencé à me refroidir. Il me fallait de l’aide, et vite! Je me suis donc tourné vers mes contacts personnels. De ce côté aussi, j’ai joué de malchance. Jusqu’au jour où, au gré de mes recherches sur internet, je suis tombé sur une association. Quel mal y avait-il à les contacter? Gvahim. Honnêtement, leur offre avait l’air trop belle pour être vraie. Le lendemain, je leur ai envoyé un petit mail. Et puis tout s’est enchainé rapidement. En quelques jours, j’ai acheté mon billet d’avion, j’ai récupéré mon visa, et je me suis retrouvé en Israel. A mon arrivée, les deux responsables du programme Joy et Annie-Claire, m’ont aidé à trouver un logement, et l’aventure à commencé.Aujourd’hui, je travaille dans l’entreprise Cukierman & Co. J’organise un salon qui a pour but de resserrer les liens économiques et politiques entre L’Europe et Israel. J’apprends tous les jours et j’ai vraiment l’impression de progresser, de m’épanouir. Les cours d’Oulpan me permettent de mieux comprendre ce qu’il se passe autour de moi, et bien sûr, de communiquer. Les évènements organisés par Gvahim me permettent de rencontrer d’autres jeunes dans le même cas que moi, et de nous ouvrir sur un sujet différent à chaque fois.Attention cependant, je dois vous mettre en garde. Soyez certains que si vous menez une expérience comme celle-ci, vos chances de rentrer un jour dans votre pays natal s’amenuisent avec les mois. Personnellement, il m’a fallut un tout petit mois pour comprendre que je ne rentrerai pas à Paris, et commencer à organiser ma vie ici.
Tout naturellement, j’ai ainsi commencé à chercher un stage. Une bonne cinquantaine d’emails plus tard, le manque d’opportunité a commencé à me refroidir. Il me fallait de l’aide, et vite! Je me suis donc tourné vers mes contacts personnels. De ce côté aussi, j’ai joué de malchance. Jusqu’au jour où, au gré de mes recherches sur internet, je suis tombé sur une association. Quel mal y avait-il à les contacter? Gvahim. Honnêtement, leur offre avait l’air trop belle pour être vraie. Le lendemain, je leur ai envoyé un petit mail. Et puis tout s’est enchainé rapidement. En quelques jours, j’ai acheté mon billet d’avion, j’ai récupéré mon visa, et je me suis retrouvé en Israel. A mon arrivée, les deux responsables du programme Joy et Annie-Claire, m’ont aidé à trouver un logement, et l’aventure à commencé.Aujourd’hui, je travaille dans l’entreprise Cukierman & Co. J’organise un salon qui a pour but de resserrer les liens économiques et politiques entre L’Europe et Israel. J’apprends tous les jours et j’ai vraiment l’impression de progresser, de m’épanouir. Les cours d’Oulpan me permettent de mieux comprendre ce qu’il se passe autour de moi, et bien sûr, de communiquer. Les évènements organisés par Gvahim me permettent de rencontrer d’autres jeunes dans le même cas que moi, et de nous ouvrir sur un sujet différent à chaque fois.Attention cependant, je dois vous mettre en garde. Soyez certains que si vous menez une expérience comme celle-ci, vos chances de rentrer un jour dans votre pays natal s’amenuisent avec les mois. Personnellement, il m’a fallut un tout petit mois pour comprendre que je ne rentrerai pas à Paris, et commencer à organiser ma vie ici.
Merci Gvahim!